Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

04/05/2009

4 jours!

Quatrième jour. C'est gentil les conseils mais ce n'est pas plus utile que la blague qui consiste à me proposer une cigarette. Ce qui se passe dans mes poumons, dans mes tripes, dans mon cerveau, ça ne regarde et ne peut regarder que moi.

 

Je me surveille, je me dis que je suis plus fort que cette saloperie d'addiction et que ce serait vraiment con de me laisser aller après des souffrances comme celles-là. Pas besoin de bouquins, de substituts d'aucune sorte, autre que les petites gourmandises : Bananes, biscuits, bonbons... Pas terrible pour la santé ? Et alors ?

 

Je fais de mon mieux pour ne pas être trop irritable et j'y parviens. Par contre au niveau des nerfs, c'est une autre histoire ! J'ai des gestes brusques que je contrôle avec difficultés, je dois redoubler de vigilance. J'ai toujours besoin de faire, je jardine, je vais promener Taliga (ma chienne), j'écris, je dessine, je suis méfiant. Je me tends des pièges involontaires, mon cerveau n'a pas encore assimilé le changement : Par exemple, je rentre à la maison après avoir fait un tour dans le jardin et je me dis que je vais me rouler une cigarette ! Et voilà ! Je ne le fais pas, heureusement mais c'est tellement facile avec une si longue habitude !

 

Cinq jours ? Il parait qu'il suffit de cinq jours pour que le corps se déshabitue d'un produit, quelque soit celui-ci. Je veux bien... Encore aujourd'hui et demain. Putain c'est long ! Je persiste à tousser mais je respire beaucoup mieux, je retrouve déjà quelques plaisirs que je suis impatient de récupérer dans leur intégralité. L'odorat d'abord, le goût, l'absence d'essoufflement quand je marche un peu vite... Combien de temps est sensée durer la souffrance psychologique ? Je suis sur la bonne voie, la mienne ! Ni à conseiller ni à encourager. Merci, je m'arrange avec moi, de gré ou de force !

 

Publié dans Texte | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : tabac |  Facebook |

03/05/2009

Tabac!

Jeudi trente avril, à bout de fatigue et de troubles divers, sinusite, maux de têtes, difficultés respiratoires, un coup de ras le bol et je prends la décision irrévocable de me rendre chez le médecin. C'est idiot, mais quand on n'a pas une tune, on attend le dernier moment, la limite, et seulement quand on constate qu'il n'y a pas d'autres solutions, on va chez le toubib ! Bref, rendez-vous tardif, beaucoup de monde dans la salle d'attente, le weekend qui se pointe inclut le premier mai, trois jours sans médecin c'est à coup sur la source de l'augmentation des angoisses chez les personnes un tant soit peu hypocondriaque. Je passe sur l'auscultation, mes difficultés respiratoires de vieille panse de biniou koz poreuse et dont le bourdon est désaccordé, la persistance du sifflement, la toux en quintes irrépressibles jusqu'à une tardive et provisoire libération. L'obligatoire ventoline... Quarante piges et même plus de tabagisme, dont une bonne trentaine à trop fumer des cigarettes extra-fortes, des brunes de toutes sortes de la gauloise bleue à la celtique en passant par toutes les autres... Ah les celtiques, gros module, gros plaisir ? S'envoyer le nuage bleu bien profond dans les éponges pour en ressortir un nuage gris qui a laissé dans les alvéoles une terrible quantité de merdes diverses...

 

Jeudi trente avril. Je sors de chez mon pote le toubib, nanti de médicaments (merci), les antibiotiques indispensables pour le grand ménage, et de deux ordonnances, la première pour le pharmacien, d'autres médocs, la seconde pour passer des radios, poumons et sinus. Je monte dans la bagnole, je sors mon paquet de tabac, je me roule une petite cigarette que j'allume, évidemment ! Je tousse, je retousse, je surtousse ! Je roule quand même vers la pharmacie. Je jette la cigarette à peine entamée par la fenêtre en regrettant ce gâchis !

 

Le soir vient (comme tous les jours !), je me roule des cigarettes très fines que je coupe en deux mais malgré ça, chaque bouffée me fait partir dans des quintes de toux abominables. C'est épuisant !

 

Dans les années quatre-vingts, lassé à la fois par le tabac et par les engueulades de mon ex quand j'allumais une clope, j'avais ralenti ma consommation jusqu'à arrêter totalement de fumer. Je me souviens de quelques jours assez difficiles à vivre, mais sans plus... J'étais sportif, je jouais intensément au tennis, je respirais bien, librement ! Deux ans et des brouettes plus tard, je me suis bêtement et lâchement laissé tenter par un cigarillo très doux offert par un beau-frère allumé pendant le réveillon de Noël. J'ai retrouvé instantanément les sensations du fumeur !

 

J'ai réussi à ne pas repartir sur les chapeaux de roues, à maintenir une consommation modérée, plus ou moins selon les circonstances. Mon ex m'horripilait avec ses remarques perpétuelles, elle me donnait l'envie de fumer de plus en plus ! A partir de quatre vingt neuf et surtout de mes premiers voyages en Roumanie, j'ai repris un rythme de croisière de grand fumeur. Aucune réflexion, l'excès tranquille, la cigarette toute cousue qui s'allume à la braise de celle dont il faut se débarrasser ! Des blondes, du tabac à rouler, des légères, des mentholées, des saloperies roumaines poussiéreuses et pas chères, avec filtre ou sans filtre...

 

Au retour des vacances en quatre vingt douze, après deux semaines lourdement tabagique, on fait (je suis avec mes filles), un arrêt chez Marie-Paule et Pal à Budapest. Retour à la civilisation moderne et à la douche chaude. Je fume jusqu'à ma dernière cigarette et, celle-ci écrasée, je décide du départ. J'arrête brusquement, comme ça, après avoir énormément trop fumé pendant les vacances.

Un mois après, jour pour jour, je retrouve mes copains rennais. Le soir, on bouffe dans un restaurant routier, aucun des deux copains qui sont avec moi ne fume. Mais je ne sais pas, l'ambiance, quelque chose... Je m'accroche comme je peux, je résiste et puis je ne tiens plus : Je me précipite au comptoir, j'achète un paquet de cigarettes, des allumettes et hop, je ressaute dans le nuage de fumée... Depuis... Une tentative d'arrêt en deux mille un ou deux ? Prise de Ziban, miracle ! En quelques jours je ne fume plus ! Je n'ai pas fait d'efforts, rien ! Trois semaines et je commence à avoir des démangeaisons sévères sur les mains. Je ne fume plus, je me gratte ! C'est vite insupportable ! Je lis la notice du fameux médicament et comme je ne prends rien d'autre, je dois me rendre à l'évidence, je suis allergique à ce miracle ! Pas de chance ! Je me suis questionné à ce moment là, sur mes motivations profondes... Ou sur leur absence qui aurait pu aider cette allergie... Mais non ! Je souhaitais réellement arrêter et je n'ai pas eu de bol, c'est tout.

 

Depuis, je vieilli vite, j'en ai marre de cette fumée prison, j'en ai fait des poèmes, des cauchemars, je me pose des questions !

 

Vendredi premier mai. C'est un jour comme un autre, à priori. Je me lève très tôt, je me suis couché très tôt hier soir pour ne pas continuer à fumer... Je ne veux pas prendre d'engagement définitif, je fais simplement un test. Je prends mes médicaments, je déjeune, je me lave, je prends un bouquin, j'allume l'ordinateur, je m'occupe, je retarde simplement l'allumage... A midi je n'ai pas fumé, on verra cette fameuse cigarette si bonne de l'après repas. Je ne l'allume pas non plus. Je ne tousse pas beaucoup, je ne respire pas vraiment mieux mais je n'ai pas fumé ! Le soir je traîne un peu, des copains passent, je bois un peu d'alcool mais je ne fume pas !

 

Samedi deux mai, deuxième jour sans tabac. Aïe ! La matinée passe sans trop de difficultés. Je commence à tousser, j'ai des pensées sauvages et dégueulasses qui font leur apparition, je m'imagine me roulant juste une toute petite cigarette, pour simplement aspirer une toute petite bouffée... Je me raisonne, je bois du café, du thé, du cola, des saloperies... Je bouge, il faut que je fasse ! N'importe quoi, que ça ne dure pas trop longtemps... Je me dis que dans les endroits où on ne peut pas fumer, on ne fume pas : Dans le train par exemple. Et ce n'est pas une souffrance ! Dans les troquets ! On sort en griller une dehors... C'est plus difficile avec le TGV, l'atterrissage en douceur n'est pas garanti ! Au boulot, pour ceux qui bosse, on attend la pause et on rattrape le temps perdu, c'est à peine si les fumeurs n'allument pas plusieurs cigarettes en même temps... Putain de prison !

 

Dimanche trois mai. J'ai tenu ! Le deuxième jour est passé, tout propre ! Je tousse de plus en plus, ça se dégage, lentement mais surement. Je me suis encore levé très tôt, je suis hyper nerveux, je tremble, je suis en manque. Ce n'est pas drôle de devenir libre ! A condition qu'il ne soit pas un peu tard, qu'un mauvais crabe ne soit pas en train de se gaver dans mes bronches et dans tout mon système respiratoire ! Je n'ai aucune envie de le savoir. Je n'irais pas, dans l'immédiat, passer de radios. Mon cher copain le toubib n'est pas dupe... J'ai vu les ravages du cancer sur quelques personnes proches, famille, amis... Beurk ! Ce serait étonnant que je passe à travers mais je ne suis pas pressé !

Alors j'en suis au troisième jour, encore deux et ça ira mieux et je voudrais bien encore avoir une dizaine d'années devant moi, voir mon fils grandir, devenir ado, adulte... S'il pouvait échapper à ce piège à con que constitue le tabac ! J'espère que je serais là pour l'aider... Dans dix piges il sera majeur, je continuerais à rêver de révolution à moins qu'elle n'ait eut lieu ? En attendant je dois affronter la longueur du jour, ce besoin pressant qui obsède, qui vide la tronche ! Je dois tenir ! J'ai envie de tenir ! Je vais y arriver !

 

Je vous tiendrai au courant...

Publié dans Texte | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : arrêt |  Facebook |

24/04/2009

pas grand chose...

Franchement, il y a des moments... Cette saloperie de roman qui me lâche (lâchement) à la page 149 ! La fin se fait attendre, la faim aussi... L'inspiration comme une carpe miroir, muette et qui ne reflète rien mais dont les rares écailles sont dures à avaler... Quelle idée aussi d'écrire une histoire dont on ignore l'issue ! On ne m'y reprendra plus, j'espère ! La poésie qui m'abandonne aussi, après quelques débuts prometteurs qui finissent dans l'oubli. Ma guitare qui à l'air de se demander pourquoi elle n'a plus le droit d'envoyer ses clings et ses clongs... Les notes tellement absentes que même la portée a disparue. Mon blog en ruine au moment où il commençait à attirer beaucoup de lecteurs, il y a pourtant tant à s'énerver, à hurler, à manifester, à révolutionner, à rire amèrement de la balle du ridicule que se renvoient les deux derniers candidats des présidentielles...

 

Sans parler du reste, le poirier qui a une maladie : la tavelure, et mes traitements à la bouillie bordelaise qui n'y font rien. Il risque de crever le poirier ! Les pêchers qui ont la cloque ! Hortefeux aux affaires sociales ! Rien ne va plus !

 

Ah, quand même, la Bretagne est à l'honneur footballistique avec trois équipes sur quatre dans les finales de coupe. C'est bien, la Bretagne est fière, le Gwenn ha du flotte sur les tribunes dans les mains de supporteurs peut-être un peu moins con que les autres. A Grenoble, les rennais faisaient la chenille dans les tribunes alors que les grenoblois se laissaient aller à des drôles de gestes qui ressemblaient foutrement au salut romain. D'accord, ils bougent les doigts, mais quand même...

Comme le disait Coluche : « qu'est ce qui est plus con qu'un supporter ? Deux supporters ! »

 

Bon, j'envoie ce petit machin sur mon blog pour signaler qu'il est toujours vivant, sans plus... Et puis, ça me réconcilie avec Internet qui se refusait à toutes nos avances depuis quelques jours. Un fichier qui part malencontreusement dans la corbeille et c'est tout de suite le bordel complet !

 

Un de ces jours prochains j'écrirai un peu plus, un peu mieux, un peu plus inspiré, c'est sur...

11/04/2009

police...

C'est sans doute vrai, ça devient une obsession ! Mais commençons par le début :

 Je ne sais pas exactement qui sont les gens qui lisent ce blog, cent soixante personnes « uniques » le mois dernier pour plus de mille visites, mais je peux égoïstement penser qu'il s'agit du dessus du panier, des gens remarquablement moins cons que les autres puisque, c'est un fait avéré et indéniable, je suis moins con que les autres aussi (comme tout le monde d'ailleurs). Après ce préambule masturbatoire et néanmoins modeste je voudrais faire partager à tous mes lecteurs inconnus ce questionnement qui me turlupine depuis... Toujours !?

 Comment quelqu'un, un humain normal (remarquablement moins con que les autres), peut avoir un jour l'envie de devenir flic, et pourquoi ?

 Quand on leur demande (pas moi !) pourquoi ils sont flics, ils répondent qu'ils voulaient ou qu'ils veulent aider les autres... C'est fantastique ! Ils aident vachement bien leurs concitoyens les lardus, ils le montrent quotidiennement avec un zèle qui n'appartient qu'à eux ! Ce n'est pas possible, ils ont du demander des conseils aux douaniers pour montrer un tel enthousiasme dans leur métier ! Dans le monde entier !

 G20 à Londres : Un mort, un passant... Un mec qui n'était même pas là pour dire aux chefs d'États présents qu'on les emmerde et pourtant... Bref on a vu ces belles images d'un flic en pleine action qui aide son prochain. On en redemande tellement c'est beau, quelle abnégation, quel courage, quelle beauté dans le geste ! Le dévouement à ce point là, cela mérite d'être souligné, récompensé !

 OTAN à Strasbourg, le bordel total dans un quartier pauvre, un hôtel qui brûle, encore des belles images... 25000 ! Ils étaient 25000 pour bloquer complètement la ville, enfin l'endroit de la ville ou se sont réunis les champions de la guerre contre le terrorisme ! Le bel Obama en tête qui encourage le foutoir en Afghanistan... Le petit Nicolas de plus en plus ridicule... 25000 plus un (1) qui était client de l'hôtel, coincé à l'intérieur avec d'autres clients, attendant qu'on vienne les aider... Tiens, ça me rappelle quelque chose, aider...

 Arrêter les clandestins, les mettre dans des camps... Arrêter ceux qui aident (encore ?) les sans-papiers, provoquer la castagne dans les manifestations même les plus sage, cogner sur les manifestants, faire chier les jeunes dans leurs fêtes, se balader avec son arme de service en dehors de celui-ci, flinguer les voleurs de voiture d'une bastos dans la nuque en légitime défense, s'asseoir sur la poitrine d'un jeune homme, pour l'aider à respirer, etc.

 Alors, c'est une obsession, d'accord, je constate et je me permets, chers inconnus lecteurs de tous les sexes, quand vous voyez un flic, faites semblant de ne pas être là, devenez transparent, prenez la fuite ! Ces sous hommes aux ordres de n'importe quel pouvoir sont toujours prêts à vous foutre sur la gueule, quelque soit votre âge, vos habits et votre couleur, même s'il montre en général une certaine préférence pour le bronzé, le noir, le métisse...

Préservez-vous ! 

 Ceux qui foutent le feu dans un quartier périphérique paisible à Strasbourg quand les flics sont occupés à protéger l'ordre mondial (!), on ne peut pas dire qu'ils ont bien choisi leur cible ! Ils se sont fait plaisir ? Le plaisir revient aux flics qui dénoncent une fois de plus les anarchistes... Bof... Difficile de juger qui sont ces rigolos mais le résultat est que la population est remontée autant contre eux que contre les lardus absents... A moins qu'ils aient été beaucoup moins absents qu'on le subodore...

« Or, sous tous les cieux sans vergogne

C'est un usage bien établi

Dès qu'il s'agit d'rosser les cognes

Tout le monde se réconcilie »

Hélas je n'ai pas l'impression que la réconciliation soit pour demain ! Tant pis pour Georges Brassens ! Tant pis pour Léo aussi qui a écrit : Le désordre c'est l'ordre, moins le pouvoir !

Le pouvoir est casqué, en uniforme, avec des boucliers et des lance-grenades, des matraques et du zèle... Sans oublier l'envie d'aider les autres...

 

Qui sont les terroristes ?

01/04/2009

LA CRISE !

La crise ! La crise de qui ? De quoi ? Et surtout pour qui ? J’aimerais me laisser aller et partir dans un délire bucolique printanier et fleuri, les petites gelées matinales, les pinsons qui appellent la femelle éventuelle, les jonquilles, les jacinthes.  Et merde ! C’est la crise !

 

Moi j’en ai marre de la crise, on nous rabat les esgourdes avec la crise comme s’il s’agissait d’une nouveauté. Il faut avoir la mémoire courte et le vocabulaire réduit pour admettre cette monumentale connerie : la crise. Ne pas se souvenir qu’il y a des SDF depuis un sacré bail et je ne parle pas d’Archimède le clochard ! Je parle de ces habitants de la rue qui sont maintenant entrés dans la norme, que personne (presque) ne trouve plus « anormaux. » Une société qui admet avoir parmi ses membres des rejetés et non seulement l’admet mais provoque en permanence l’exclusion des plus malchanceux, des plus fragiles, de ceux qui ne savent pas ou ne veulent pas s’adapter, si ce n’est pas une société en crise ! Qu’est-ce ?

 

Maintenant, ça licencie dans tous les coins, dans tous les secteurs, la « crise » exclue à tour de bras, les actionnaires pleurent ou plutôt, les actionnaires ont peur de pleurer ! Voilà où elle est la crise ! Et on repousse par tous les moyens tous les pauvres du monde pour qui le RMI est une richesse incroyable ! La crise excuse tout !

 

La France est riche : G7, G8, G20, OTAN, ONU, CHÔMAGE ! Quelques milliards par ci par là, le FMI entre les mains des états-uniens, Madonna qui fait ses courses au Malawi ! Les pedzouilles qui achètent des bulgares, des philippines, des gosses au Brésil et en Thaïlande et ailleurs !

 

Pas un savant, pas un politicien, pas un philosophe pour, ne serait-ce que réfléchir à un autre système ! La violence institutionnelle n’a jamais atteint un tel niveau, la réponse va, un jour ou l’autre, être à la hauteur. Il y aura des flics, pas plus cons que d’ordinaire, qui tireront dans le tas ! La crise ! Il y aura du sang, c’est sur !

 

Quand on a des mouflets, ça le glace, le sang. Mais si une fausse majorité merdique continue à voter pour des cons parce qu’ils ont une trouille bleue de la révolution, ils vont gagner le gros lot et, si je tiens encore sur mes cannes, je ne serais pas le dernier dans la rue !

 

Bonne chance aux actionnaires, aux voyous patrons et aux divers mafieux du libéralisme sarkozien. On est prêt !

 

Pour changer de sujet, il y a eu presque mille visites sur mon blog au mois de mars ! Et pas un seul commentaire ! Laissez-vous aller !